“ J’ai toujours été engagée pour le développement des femmes dans leur carrière. Dans les années 2000 j’ai importé de Californie le concept de réseau féminin d’entreprise en Europe. J’ai continué cette implication dans mes expatriations en Australie et en Asie. A Singapour j’ai ainsi créé un réseau de réseaux, les problémes des femmes dans le numérique étaient identiques dans toutes les entreprises. Je dirigeais les services techniques et le manque de mixité était criant. L’utilité des réseaux féminins est maintenant reconnus mais nous étions des pionnières.
Une fois arrivée à Montpellier il me semblait évident de continuer, c’est pourquoi rejoindre les Premières Occitanie m'est apparu comme une évidence, c’est du concret avec des résultats tangibles c’est ce qui m’a plu. Élisabeth Kimmerlin, la présidente des Premières Occitanie donne cette dimension pragmatique et active à cette cause. Enfin, j’apprécie que le conseil d’Administration soit mixte. L’entrepreneuriat féminin n’est pas une affaire de femmes, mais de toute la société. ”